Le Corpus des lettres: lettresGordes

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  • par soubçon violé. On dict que le roy chatolique demande

    La partie, à ce qu’on dict, faicte à poste, comme le cappitaine Gua demandeyt

    Saluces et Daulphiné et Provence, pourveu que

    vous en mesme estat. La guerre n’est plus ci

    d’assembler forces telles qu’il porra en tailler en pieces tous ceulx qui iront à la guerre

    maison de Chartreuse, ce 17 de juillet 1572.

    Sainte-Marie, lieutenant de monsieur de Maugiron, le

    Nous demandions douze mil, attendu qu’il y avoit XIIc

    heureuse vie. De Paris, ce XXIIe jullet 1572.

    Monseigneur qu’il vous doint en parfaicte santé très longue et

    ce XXIIIIe juliet 1572

    ainsi que je ferey des estatz qui ont vacqué en vostre pays,

    Le Createur vous donner

    Joyeuse avoit donné semblable advertissement

    aux susditz. Et pour fère fin à ma lettre, je vous

    comme si telles poursuittes venoint de leur part. Quant

    Monsieur ce quil congnoist vous estre necessaire.

    desireroit avoir de vous une sauvegarde bien ample pour

    voluntiers l’affection de celuy, lequel on vous a escrit avoir esté

    Monsieur, c’est temerité à eulx, attendu que c’est une ville

    Provence pour ce coup pour nen avoir le loisir.

    l’advenir et quil me fasse rambourser ici ce

    Vostre à jamais très humble

    pour se joindre tous ensemble. Je prie Dieu qu’ilz

    derniers, car monsieur de Leonne est fort difficille.

    se trouble n’a cessé, avec quatre ses enfans ou serviteurs,

    fort blessé. De la vint que, estantz marrys qu’ilz

    [36] pretendu autre cause de leur rebellion que celle

    votre seur de Sainte-Claire, que la bailhera aux gens de monseur le

    leur porter aulcung mal ny prejudice, mais pour les

    lequel j’avoys prié m’escrire ce qu’il apprendroit des entreprises de

    Quand aux nouvelles, l’ons ne bruit que d’aller

    à ses fins ; et en somme, il ne dit que

    dabonnessient pour les convertir et fère changer d’oppinion.

    Monsieur, en santé, heureuse et longue vie. De

    B. de Simienne

    Escripvant la présente, monsieur le conte de Sault m’a mandé qu’il

    premier courir ; mais qu’il leur pouvoit interdire le

    hostage que Dieu veulhe qu’il puisse négocier

    très obéissant frère

    Moreau qui l’avoyt heu aultresfoys, car je me souviens

    est monsieur de Malfi, gouverneur de Montreuil.

    courtz. Au reste, Monsieur, voz lettres pour Grane sont encor

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne

    Je vous mande les letres du don de Grane et de la

    contraire que Castelginest est le chief [barré ches]

    Votre à jamais très humble et

    excuses les offrir escripvant en Prouvence aux personnes qui

    vingt et deux de ceulx de dehors et ceulx de dedans

    comme le combat de la ville se faisoit, le corronel des Corsses

    [221A] Madame la grand de Savoye me demande tous les

    me contenteroys pas de luy qu’il fut payé et qu’il ne payat

    mesadvenoyt ce

    Votre très humble et très obeyssant

    que l’ons vous a donée que au Pousin travalhent aux fossés.

    monseigneur, qui merite vous escripre. En attendant

    despence qui y est necessaire ; qui me faict pource faire supplier très humblement

    le quel il rendit au seigneur de Saint Romein sans quon luy

    pos en ce temps car jay tyré service de luy et de

    feim ce que a osté tous moyens aux particulliers,

    dont nous lavons rellevé er rellevons par ces

    Du XXIIIIe no[vem]bre

    que le tout reussyra en quelque bonne fin et yssue, je

    en achepter bien cher pour nous familhes

    [218] monseigneur, lentier contantement de voz desirs. A Sallard,

    nommé, mais iestime que ceste Le Gua layné, cest

    ung jardin pendant le temps quil

    monsieur de St Rufz, du quel le lougis a esté bruslé

    que ce soyt.

    pour navoir trouvé par qui la vous envoyer. Jay rendu

    plaincte des exemptz pour la taillhe et bien que je ne laye couché aux termes

    besay hier les meins à monseigneur de Monpancier,

    de quoy ilz ne porront tant negocier dentreprinse et

    puys sinon craindre que comme lon dict la commodita non faccia lhuomo

    demeurant, je vous ay donné asseurance de la declaration et ampliation

    faché contre moy, y deussé-je appeler votre aulmonier

    [barré : vous] lautre a balhé ung denombrement de bien et ha lons

    Vostre plus humble à vous faire service

    pièce et jey la pluspart de boys prest.

    le cappitaine

    Nous navons encor pont entendu

    mes nepveux soint en bone santé, Dieu merci.

    vous scaurés mieux adviser, pourront

    sen revint sus ung batteau jusques en Avignon attendre icy la

    esmanteler et raser le château de

    fays encore

    sepmaynes à Mirebel, allant queryr le foing à Villedieu, que ceroit oster la vollonté que les

    mieux que pourrons, suivant ce que men avés si devant escript.

    autres depeches, ou vous voyant, vous pourray randre

    passage pour six mil hommes de pied et pour gens de cheval

    instamant l’argent au répondant et le répondant à l’autre monsieur de Méru

    le roy se voulut servir et ayder du moyen qu’il a sur

    eschaufée en ce pays yci come elle a esté. Il ne

    de Flandres ; et toutesfois, il se trouve qu’ilz sont desja plus de VI c[ens] hommes huguenotz

    Votre très humble serviteur et orateur

    gouvernement de Dorlan. Il y a quelques contredisans,

    livres de gaiges. En fin, on se rabaissa à dix mil l[ivres],

    Votre très humble serviteur

    heureuse vie. De Bordeaulx, ce XXII. jullet 1572.

    Votre très humble et très affectionné

    combien que si cella a lieu, votre seigneurie en ara sertitude comme celluy qui y est participent dont je me taix.

    Monsieur en contantement heurese et longue vie.

    au roy, auquel sa majesté avoit faict response

    suplieray très humblement croyre que je seray

    aux miennes, je scay bien qu’il a une requeste et des

    D’Apt, se samedi IX d’aust 1572

    sa maison de Granges de La Coste St André, suivant ung mémoire

    de ceux qui avoyent presenté lesdictes plainctes, duquel je m’esbahis

    sans gouverneur sur lequel le vulgaire se puisse reposer,

    Sil vous plait par votre première depecher

    que en atandant pourray fournir comme luy escript

    et très obéissant frère

    puissent faire quelque chose de bon pour sa magesté

    Sur ce, je prierey le Createur,

    de raviller arquebuzes et aultres armes. Bref, il eschappe

    n’estoient peu entrer celle nuyct ausdites prisons,

    de la conscience et de la religion encor qu’en effect

    cardinal que la vous feront tenir. Je loue Dieu de ce que me

    randre plus asseurés de leur personnes et biens soubz

    ses voysins. Il m’a remis à une letre que luy a mandé le capitaine

    asiéger La Rochelle, où s’est geté la pluspart

    verité.

    Sur quoy je m’en remectz à son bon plaisir, m’asseurant que

    Paris, ce IIII nouvembre 1572.

    Partoyt le jourd’huy pour Montélaimar et qu’il m’avertirat quant

    commerce ez villes de Piedmont, et par là leur coupper les

    quelque chose de bien pour le servisse

    De Simiene

    l’avoir veu à Grenoble pour cet effait mesme. Je pansse

    Les compagnies d’homes d’armes soint données aux

    à sceller à cause de la maladie qu’a esté mortelle

    grâce et prie le Créateur que vous done, en parfaicte santé,

    plusvalue de Jaunage. Icelles interinées, je

    chasteau de tout le temporel de monsieur

    très obeissant frère

    les auront pour agreables. Je ne scaurois quand

    se retirarent sans perdre ung home qung qui

    donna à la bresche du chasteau et le tout rehussit d’une

    jours de voz nouvelles et de voz lettres. Elle a heu rente

    poynt, estant très eyse monseigneur que ayés trové sa compagnie belle. Je

    seroyt prejudice

    serviteur

    Votre oppinion est la plus seyne, long fera ce que l’ons

    vous commandemans, mon seigneur, je finerey

    votre magesté [barré : m] estre contante que je puisse mestre ung impoz sur le sel,

    usat daucune hostilité, ains ayant fayct venir ledit de Saint

    sadite compagnie [barré : ce quy se peult autant] bien à bon

    marchantz ou citoyens dudit Vienne de faire

    presentes, car ainsi nous plaist. Donné à Paris

    Vienne : XXm p. X p. v.

    vous suplie donc, monsieur mon cousin, de madiouster ce

    si sen peult trouver encores en y aura beaucoup

    le XX4 jour dessembre 1573.

    que vous avez permis au sieur de Varces de porter des

    y aura gens de votre troppe ou de madame

    puys XII ou XIII jours et, à Romans, deux aultres

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne

    à monsieur de Bonniveau ce que venoye à luy.

    seulement de voz memoires ; si nen a[-t-]on parlé plus advant. Je presente mes

    recomandant les affaires de della. Il me dit [que]

    dintelligences comme ilz ont voulu faire ces derniers jours

    ladro, attendu mesme d’un cousté la force que l’Espagnol se trouve avoir

    de la volunté du roy sur la commission des voytures et vous promet de

    qui nest pas maintenant guière empesché. Et actendant

    Home exprès sur les lieux pour voir et proumis devant

    Laborel

    Votre très humble et

    Lours qui

    des nouvelles du seigneur Carles.

    Par mes dernières, je vous escripvis coument labé

    [barré : d] esclarcir sadite magesté de ce que en est,

    responce de monsieur de La Garde auquel jen ay escript, respon

    Vercors, puis quil ne vous plaict

    auxdits seigneurs du

    ditz ennemys ent de sen prevalloyr. Lon mat asseuré le semblable de Toulignan et Tulette quoy que

    Je remets au sieur de Belloy vous dire

    meilheur compte que meintenent. Quand à votre particulier,

    aussi qu’il veut faire passer en Flandres. il offre et demande

    en fin, ie croy qu’il refuza de payer et non pas sans raison et des responces

    tous les Pays-Bas. Je n’oys pas patiemment telles reveries.

    se parle à présent que d’accompagner monsieur le conte

    sur les frontières, lesquelz ne s’osent hazarder d’entrer dans le pays de Flandres,

    B prieur de Chartreuse

    mais il s’asseure de l’avoir paisible. C’est ung très honneste

    luy ne voulant passer plus oultre, monsieur Bellièvre

    S. de boczosel

    Votre plus humble et obeyssant

    serviteur

    [fol.81] S’il plaict au second liseur randre la presente

    De Lion, ce XXVIIII julhet.

    et faict entendre sa volonté, comme il feroit

    tousjours bien prest à recepvoir voz commandemantz,

    placetz il y a fort longtemps pour affaires don il n’a

    Vostre à jamais très humble et très

    que pour cest effait elle a fait dresser et que vous

    et si vous diray neantmoins pour advertissement que quant à celles que l’a dict, ce sont bien quelques foys

    dans laquelle les passans peuvent laisser plusieurs mauvaises novelles

    Ceste et le contenu dicelle y sera comuniqué.

    presantement.

    De Simienne

    et du christianisme, mais pour ceste année, je crois

    Monseigneur, vous voulloir donner en bonne santé

    journellement, mesmes aux plus petitz, des langaiges qui ne

    ilz firent courir le bruyt que les prisonniers estoient

    on congneut assez qu’il y avoit autre but. La royne me dict que

    mandés qu’il y a beaucoup de gens que se remettent à notre sainte foy

    la protection, commendementz et main forte de sa Majesté ;

    Arnaud, dont je vous envoye une copie et l’extraict d’ung chef

    de la noblesse de la Guienne pour le peu de

    vous considerez le tout mieulx que ne vous scauroys escripre,

    Votre à jamais très humble

    L’ont seroyt prest pour les contes de Monsieur d’Aubignan

    vivres, comme vous pourriés faire du cousté du Daulphiné ;

    du roy. Il est sorti hors

    J’adjousterai, s’il vous plait, ce mot pour me recommander

    bien, monseigneur, qu’aurés sceu come le roy a esté blessé

    sieurs d’Entragues l’eisné et d’Humières, le

    de feu madame la présidente de Birague, que fut hyer

    très longue et heureuse vie. De Beaucaire, le XXIXe

    desirerois bien arranter Jaunages tout à ung

    de Saint Sernin et par droit ledit Sepet debvroit

    De Simienne

    bien aurois loisir escripre rien plus que ce que dessus

    fut blessé. Ceux de dehors peuvent estre en

    mesme fasson. Il se retreuve beaucoup de blessez et mesmes

    sur la recepte generale de Bourges pour son deub an denier

    m’asseure que sy elle est aussi bonne que les chefz sont gens de

    et interest au service

    La Casette

    porra à ce que m’escripvés. Quant aux souldatz don j’advoys

    la presente comme celuy qui desire vous faire

    attendu que cest tout le moyen que je puys esperer en cella, et le

    Romein au près qui le menassa de bruler ses granges, il mit

    escient.

    aulcune negotiation avec eulx et de retirer

    le XXIIIe jour du moys doctobre, lan de grace mil

    bon office là et fère que mes reysons susdites ayent lieu

    [212 v°] des habitantz de ce lieu que avant que sout

    Votre très humble serviteur

    pistoles disant que les deffences ne sont faicte contre

    de la reste dudit jardin pendant quilz le

    chevaux luy bruslèrent en lhostellerie du

    grace et supplie le Createur quil vous donne en parfaicte

    très humbles recommandations à voz bonnes graces et prie Dieu, messieurs, vous donner

    monseigneur son filz seroit ici au premier jour et que

    tant sur Ambrun que sur Guillestre, et comme ilz font

    aujourdhuy sur la mer, et de laultre les plainctes quil faict ouvertement

    rechef que vous laurés. Elle est, il y a fort long temps, sus le seau,

    de recepvoyr voz commandementz, je supplieray le Createur

    Pasques de lui faire lresponse. Je[barré : s] partiray dici avec[sa]

    très hobeyssant serviteur

    estoyt son

    Le cappitaine Goubert ma monstré une lettre que luy avés escript par laquelle luy

    de Gadagne revenant devers le roy de Pologne

    et seroit bon que ce seroit monsieur d’Evènes

    dant à la sienne quil mescripvit de Valence, mays je ne luy ey pas

    y mettre gens. Je crois que ne

    pays pour y pour

    le feu commisssaire despupputé [sic] pour fournyr les chevaus legiers de Savoye vous aye faict

    lemprisonnement de Ventabren à la court votre pour jamais plus humble

    la reyne ma comandé en faire presanter ung mémoire

    ostages pour la seureté du passage, sur quoy se font

    si aigres (en termes que ie ne metray point icy) que monsieur [barré : ayant] de Méru

    Monsieur l’amiral est toujours en ceste ville avec

    notre gouverneur en Avignon et jusques à Caderousse

    à cause que le duc d’Albe est fort de cavallerie ; avec ce, quilz attendent à quoy reusciront

    gentilhomme. Je crains que le voyage de monsieur de Passage

    fut d’advis d’aller devers monsieur le comte de Retz, tant

    serviteur.

    Bellievre

    ez mains de madame, elle trouvera que

    Vostre à jamais très humble et

    à vous sans me declairer autre chose. Despuis,

    pour y obeir d’aussy bone volunté que je prie Dieu,

    pas encor parlé. J’estime que vous aurez à la fin une

    affesionné frère et serviteur

    envoie. Sil vous plait par votre première depeche

    de ses traicts comme (si je m’en puis souvenir) je vous feray

    [fol.215], et où les habitans ont esté eschaudés et aux portes de laquelle

    [300] Et sur ce, après mestre très humblement recommandé

    Monsieur Le Febvre, pour le fait de votre estat

    que si à ceste heure ilz nont faict quelque chose,

    très longue et très heureuse vie. D’Exilles, ce XXVIIe

    sente poinct leur cueur abaissé ou desirans le repot. L’autre

    pourveuz d’armes, qu’est la cause, Monseigneur,

    si Monbrun vouloit prendre ce chemin, que le roy luy

    catholique, et ay spérence en luy qu’il imspera aussi les aultres, s’il

    et pour obvyer à des inconvenientz qui, à faulte de ce,

    de ce qu’il m’a escript, et non la letre, pour la pouvoyr monstrer demayn

    seurté qu’ils se sount voulue prometre en leur

    me tenant sur ce tousjours prest pour obeyr à vous commandementz

    et très obéissant frère.

    et que telle guerre les travailleroit assez si monsegneur

    ung cappitaine La Vigne, bon home de guerre

    humblement aux bones grâces de monsieur de La Roche,

    ses jours passés à la chasse du sanglier d’ung coup

    gouvernement estoit vivant le père donné à son

    enterrée. Je présente pour la fin mes très humbles recommandations

    jour de decembre 1572.

    et ayant sines de luts le domeine à ferme enqores

    plustost contribuer à Castelginest que

    [barré : di] qui par votre moien sil vous plait participeront de monsieur

    nombre de huict cens ou mil homes, tant bons

    cappiteynes, qui est cause que avecq le maulvays temps

    douze dont elle est fort contente. Je luy ay adsisté et faict

    bien et de valeur, que vous en recevrés contentement. Ny a

    du roy et

    acomodé monsieur du Telh, ilz estoyent [déchiré]

    très humble service, priant Dieu

    moings dommageable à voz subiectz ; dautant que lestranger en portera

    fort bien les soldatz que je luy avoys baillé de[h]ors et mit ledit

    [131] [brouillon de lettre au roi de Pologne]

    paycunes de ceulx quy leur doibvent aux

    Vc soixante trèze et de notre règne le treziesme,

    Du XXVe dudit moys

    envers les personnes de bon cueur et entendement et

    peu de jours, seront contraintz sen aller et

    A jamais Cosme de Candolle

    ceulx de sa qualité, mais contre ceulx de la religion

    feront et tiendront, ilz en feront

    Daulphin à [barré : V] Romans. Le sieur Crapone

    santé très longue et très heureuse vie. De Grenoble

    la sienne. De Poyssy, ce XVIme janvier 1574. Monsieur de Limoges a aussi

    il sy emploieroit comme pour son fayt propre.

    jornellement. Et pour tottes mes recompances, je ne demande

    de nous. Je laisse les troubles que sont en ce quartier là le mauvais

    signée en [barré : tout] queue par monsieur de Saint-Bonet et par monsieur de Sauve,

    vous donner

    Resolution pour my conduire, estant en bas selon votre

    lacasette.

    enseigne et

    mandés que sy la ville luy doibt quelque chose, quil sadresse à moy. Il demande du

    men avoyt autant dit de mon nepveu monsieur de

    mesmes que le remonstra, car il le fera

    touché de la lieutenance de laquele il luy a parlé pour nen avoir

    le trouverés mauvais, car cestoit

    voyr à ladvenir,

    entendre du contrayre, vous disoint aussy quon mat asseuré quen ces ditz trois lieus, il y ha

    despuis quen suis parti et les occasions et plus obeissant frère

    pour monsieur de Sauve, ce que feray au premier jour, en ayant

    plusieurs discours. Le duc de Médinaceli est abordé

    et autres ayant mis la main au poignard, ont dict que le cappitaine Gua puis après

    quelquez fiebvre terminée. On parle des nopces

    au rencontre de madame la comtesse sa femme,

    les poursuictes et courvées continuelles que faict l’admiral à sa majesté de secourir ceulx de Mons

    ne luy préjudice à venir en sa place. Je voy assez souvent

    pour luy faire entendre que pour son respect vous

    Blanieu

    Ce porteur est envoyé exprès par un general des monoyes et par moy pour faire venir

    monsieur de Galgas son filz se porte fort bien,

    très obeissant frère

    j’ay cherché Marron, le secrétaire de monsieur de

    Monseigneur, vous meintenir en bone santé,

    lettre de mondit segneur le prince. Je me remettray pour

    de Simiane

    nous lenvoierés ici avec letres à ses fins au

    un jour le conte d’un semblable traict qu’elle feist en ce pais

    l’assemblée de Montbrun s’entreprenoit. Le Cheylar me dict aussi

    à vous bones graces et celles de madame de Gordes

    Se pleint du recepveur general du

    ilz seront contrainctz de se retirer à cause de l’hyver.

    septembre 1572.

    jour, j’envoyay à Dye ung homme de Chabrillan discret pour

    que je vous supplie n’adjouxter foy à telles impostures,

    envoyeroit une sauvegarde et asseurance telle qu’il la

    luy plaict. Je n’escriray rien à monsieur de Caderosse, puisque

    en pourroyent advenir, me reservant, Monsieur, si je

    à messieurs de notre compagnie. S’il y avoyt moyen, ou par doulceur

    mesons, voiant les executions faites naguières

    d’aussi bon cueur que je prie le Createur,

    De Simienne

    le duc de Savoye en vouloit faire de mesme ; quant

    parmi eux, pour tenir le parti du roy.

    le priant de beiser de mesmes de ma part

    d’épée au bras, mais l’on espère que ce ne sera pas grande

    filz. Il ne se parle poinct ici du retour de

    à votre bonne grâce et de celle de monsieur de La Roche.

    Votre très humble et très affectionné

    pour quelque temps, je desirerois voiesit comme

    Castelginest à Sepet. Car Castelginest est ung

    de Rousset ausi lequel puis assurer du bon pourtement

    que meschantz. Je ne fauldrey, monseigneur,

    de pluye quil faict, les soldatz se desbandent du camp.

    tout le service que j’ay peu comme je y suis obligé. Je vous

    que troys jours que je vous ay escrit par le filz du [barré : p] cappiteyne

    du païs, mays

    aultant d’ungz que d’aultres, de fasson que [déchiré]

    Monseigneur, qui vous doinct santé, longue et

    sa part. Aussi [barré : sy] ne veulx je oblié à vous remercier de massurer,

    de Saynt Romein dedans où ilz retiennent lartilllerie de la quele

    Au roy de Pollongne

    ungz par vente de dansrées, aux aultres

    par le conseil enjourant, seellées à cire jaulne

    St Saphorin : Xm pains X p. v.

    specialement aux votres et de voz frères de lamitié des

    quicter leurs maysons pour aller alheurs

    sieur de Jullians en provence

    que vous avez permis aux catholiques de Valence s’exercer

    leur proffit, parquoy, monsegneur, vous

    de Sallon sera porteur de la presente

    ce XVIIIIe jour de sepbre 1571

    le cayer de messieurs du clergé que le roy luy a semblablement remis duquel je [barré : kay]

    Se bruit daller à Madrie où St Mors. Le frère [ ]

    que dy despandre le mien, la continuation de voz bonnes graces

    mesnage, auquel sont les gouverneurs, entre lesquels je ne puys sinon plaindre

    qui en a receu le commandement, mays les affayres du conseille occupent

    monseigneur, en parfaicte santé, heureuce vie et longue. De Grenoble,

    Advis. Aurreste, monsdieur, par lettres de monsieur le cardinal

    il a bien co-

    boys et des chandelles pour luy et son enseigne. Ilz luy en ont desjà balhé une batelle. (= petit bateau)

    Laval. Je luy ay escript despuis deux jours. Jay

    avec plus de respect et deficace pour estre

    rien entendu lhors que je luy escripvis et ne le treuve guière bien tant

    un lieu qui eust servi de beaucop à

    car je me doubte

    raisonnablement selon lexterilité de lannée des bledz et vins. Je suis contrainct de vous

    dicelluy. De Simienne.

    parlé au roy premierement comme ay fait à elle,

    en Flandres avec cinq mil Espagnolz et avec force grande de ducatz.

    ne peult moings faire que de metre l’espée au point. Je croy que tout est d’accord

    au XXVe de jullet.

    où plusieurs ont esté par luy recherchés et encores moy

    et mectre armée sur luy, promectant merveilles. A quoy toutesfois, le roy dit ne vouloir

    monsegneur le prince daulphin, je luy parleray à quelque

    estiés content de nommer ledit sieur de Pressins, qui d’ailleurs

    Monseigneur, despuys cette cy escripte, le sieur de Montmorin, qui est à la reyne,

    les essayeur et tailleur de Grenoble affin de fère espreuves

    Dieu graces. Encores dès yer, je le fus vouer

    De Simienne

    Joyeuse, pour scavoir quelle response en avoit heue

    me recommandant très humblement à votre bone grace.

    le surplus pour les novelles de ceste cour à monsieur de La

    chatelein et consuls de La Coste. Jay fait parler

    pour aigrir davantage une malvueillance.

    que le sieur de Saint-Romain avoit adjousté deulx articles

    et du reste de votre compagnie, je prieray Dieu

    Dauphiné qui dit la trompé,

    Et en cest endroict, je ferey fin, après avoir supplié

    Votre très humble et

    m’achepter quelques chandelles et autres provisions, lequel me

    et vous asseurer que je ne vous escris chose qui ne

    pourroit desirer. Je vous ay escrit par ma derniere lettre

    ainsin vous le trovés bon. Je vous assure que noz affaires de Cabanes

    sentoys de quelques-ungs quelque choze de pys pour leurs

    les asseurer, ou par force advant qu’il s’atroupent les surprendre,

    à Bourde[a]ux et autres lieux. L’ons parle de

    Monseigneur, vous donner en bonne santé très longue et

    Nous n’avons pour ce coup loisir d’escripre en Provence

    à la poste, qu’il n’y voyoit pas grand danger, que tous

    Je vous ay si-devant escript comment le

    les meins à madame de Gordes et à monsieur

    chose. La reyne régnante a esté fort malade ses jours

    monseigneur le prince-dauphin et croyne bougera de chés

    Je prie Dieu,

    serviteur….. Bellievre

    autrefois en a fait semblent [barré : de faire] avoir le tout

    [77] fort et au passaige public et Sepet est une

    de monsieur de Vanse qui estant arrivé à la closture de

    incontinant que japrendrey quelzques nouvelles,

    Mondit seigneur le mareschal faict estat et resollution ne partyr

    supplie luy escrire. Je vous ay envoyé une sienne

    Eschaillon. J’ey envoyé commissayre pour conduyre sa compagnie

    les gens de bien de

    demeuroyt moingz asseurée. Je vous envoye [déchiré]

    très heureuse vie et avoir se bien que de vous

    madame, lyconnomat quil vous a pleu maccorder, que je nay recherché

    le comte Ludovic avoyt batu la vile du Montelymar et si après

    Sire, je me remectray à la lettre quil vous plaira veoir que jescriz au roy et

    par prest, aux aultres par pentions,

    à simple queue / coppie /

    Tonssieu : IIIIm p. IIII p. v.

    quelz je fayz tant destat que je nespargneray jamays

    cercher advivres, nayant du tout point ne

    Je vous envoye le double de la lettre que

    au prix de larquebuze à la charge de ceulx de

    me ferés entendre surce votre bon volloir.

    Votre très humble et très affectionné

    nay pas moings desing que de lautre. Votre humble et très affectionné serviteur.

    aproche qui pourroit bien les mener à Paris

    et votre tesmoniage envers sa magesté lors que j’aurey merité

    ce bon personnage contre lequel on a suscité le peuple qui naguères alloit presque

    tant monsieur le chancellier qui ne peult parmy des maladies quil

    ce IIIIe jour de febvrier 1574

    Pel[e]vé à monsieur d’Anbrun, jay veu que laffaire de St[Sernin]

    gneu que « tel

    Par quoy sil vous plaist me faire entendre votre volenté.

    rière moy toutes les expeditions des deux offices

    votre frère et homme de guerre que en peut

    pour nei estre practiq pour estre loing de la court et de son maître et pour

    lennemi et nous heu que de grand

    plus que jamays

    [244 v°] vous dire linstance que ceus deste ville me font de prier des genstylz hommes voysins qui ont des

    à laquieulle ne pance avoir rien oubllié à

    Celle querelle de flandres est presque aussi passionnée

    mais cela ha apresté à parler à beaucoup de gens qui en disent leur ratelée

    Monsieur, monsieur de Villeroy m’a dict que dès

    de tele affection et gratification que je ne m’en puis

    entendre et veult maintenir la paix. L’ambassadeur du pape et celluy d’Espaigne

    occasion de ce que m’escrivez. J’ay envoyé la parcelle

    est très digne de telle charge, que pour ordonner de

    est arrivé aulx galères de monsieur de La Garde, qui a porté, à ce que l’on dict, résolution si le

    de la monoye de la ceste ville, dont le roy a des plainctes

    avec mon nepveu La Pimpie. Il m’a promis que

    Jay fait une depêche en Provence par ung batelier

    son maistre, qui m’a dict que le roy s’estoit [barré :collé]

    De Piegon, ce IIIIme aoust 1572.

    Coste, pour finir la présente après avoir prié Dieu,

    par Chaponai au paieur de votre compagnie qui en

    Au surplus, monseigneur, j’ay à vous remercier très humblement

    à leur cayer pour son particulier : l’ung que vous ne le vouliés

    vous donner

    mais au premier jour y aura

    le Createur,

    très hobeissant serviteur.

    raporta qu’ung catholicque a qui je l’avois adressé, luy avoit

    soyt veritable et de laquelle vous n’ayés, et de toutes

    comment la royne, par le propos qu’elle en tint à monsieur d’Évènes,

    vont assez mal. Nous havons quelque vigne et olivette à Château

    accoustumées traystresses vollentés, les loger, comme m’en

    j’entens desarmer et se saysir d’une demye dozeyne des

    mener XXX canons d’ici, et que monsieur de Tavanes ira.

    très heureuse vie. D’Exilles, ce XXIe octobre 1572.

    ni à messieurs d’Hourches et de Rousset ; leurs

    les pacquetz ne sont pas d’égalle importance, qu’après

    fait de Sanxerre est passé.

    de Rousset s’il est là, n’aiant pour ce coup loisir lui escripre.

    passés d’un cathère à la joue, tellemant que l’on cregnoit

    luy que pour La Rochelle. L’ons ne s’est pas beaucop

    Monseigneur, qui vous doint très longue et heureuse vie.

    Madame de Gordes et monsieur de La Roche

    car il n’y a plus descrupule que m’avés autres fois

    mayson particullière et ecartée du grand

    cesteci, presant[e] toutes ses plus humbles recommandations.

    tant dabas comme de cy autour, de vous

    de là devant ladite ville quelle ne soyt remize en l’hobeissance

    lettres avec le pacquet du roy sus mentionné.

    jusques en Languedoc devant hier. Le cappitaine Mazel envoya

    Valence en soufreroyent

    de Conbans, de La Roche et de Lisle.

    demeurer très humble serviteur. A Dye, ce

    pour cuyder en rien alterer des droictz de notre Saint-Père si nest en tant que

    leedict de paciffication, ledit chasteau de Grane ne me fut rendu

    entendre les occurrances des affaires de pardeça pour nuser de redicte esquelz,

    servis ou acensement de leurs biens

    Lasignation est donnée à ladite dame Guigonne Lallemant

    ma personne ni ma propre vie pour la me conserver

    moyen den gaigner ne soy pouvantz travailher

    monsieur d’Ambrun escrivoyt pour ma

    la religion ny seront poinct soufferz ; que le Cheylard

    [85] Quant à vous envoyer quelque garçon

    Serviteur

    S. de Boczosel. Et au dessus : messieurs messieurs les commis des estatz de

    a gardé cinq ou six jours le lict qui a de[meu]

    quelque chose. Et sur ce, je vous baise humblement les

    en procession à Notre Dame de La Garde pour prier Dieu pour sa santé et me

    a vacquer à seeler. Jeusse desyré pour le surplus que vous meussiés

    Avoyr veu les lettres de madame la grand, je vous supplie les me renvoyer

    est passé à Roume la moitié gratis ; javois mandé [ ??]

    change qui

    Ledit Cadet a esté sergent de la

    de conseilher, lung pour monsieur Mercier, laqueulle en

    parler en termes et dallieurs vous naurés

    navoir moien [barré entretenir et] ny credit dentretenir et nourrir tant de

    empeche.

    que les affères

    chevaus, de venyr en ceste ville pour empescher les cources quilz aprehendent que les ennemys

    remonstrer de vous despances et du peu de moien

    selon la diversité des religions qu’estoit la nostre,

    diversemant. Je ne vous veux pas celer aussi (monsieur) une chose estrange qui est

    l’heure qu’il eust leu votre lettre au roy du XVIe, il

    vous dire, de quoy toutesfois je m’en paserois bien

    poursuivent destre ouys pour scavoir la volunté et resolution de sa majesté touchant lesdites

    du XIIIe de ce moys par la voye du contreroleur

    la finance qu’il vous en payeroit. Mondit sieur le

    voyage se fera ou non et s’il se faict, quel jour on partira. Et pour cest

    mesmes pour raison des doubles pris à telles pièces de six blancs

    à mon despart, il escripra de ces novelles

    d’Avignon qui part aujourdhuy. Je trouve fort estrange

    colléré, et enaygri grandement sur ceste novelle,

    Votre très humble et très obeissant

    Monsieur, vous donner très longue et heureuse vie.

    fournira aiant mandement et vous ce que vous

    de tant de bone volunté que vous avés déclarée en mon endroit

    laisser user d’une permission contenue en ung brevet de tirer

    Monsieur, en santé contante vie. De Paris, ce

    proveu en ses païs pour

    Monsieur, vous donner en parfaicte santé très heureuse et

    La Casette

    dict qu’il estoit fort à craindre que monsieur de Monleuc

    mes actions, bon tesmoignage par monsieur le consellier

    sembloit ne trouver bon que l’on esmantèle Dye et Loriol. Monsieur de Limoges m’avoit

    Renard et à Noves. Ilz nous gagèrent l’année passée pour payer les

    avés faict le commendement, ung peu plus discortoysement.

    plus seditieux, ce seroyt peut-estre obvier à plus grand despence

    [110] Ceulx de Sanserre ausy fount samblant de vouloir

    Votre très humble et

    escripvant, s’il vous plait, ils participereront

    la perte d’ung on pourroit prendre advis sur ce changement.

    [294] Monsieur, je suis en quelque opinion de demander le péage de Jaunages

    qui ne la suffocat. La reyne mère du roy, a esté

    soucié ici de ce que n’est allé de pardella.

    De Paris, ce XXIIIIe décembre 1572.

    verront icy, s’il leur plaict, mes semblables

    mis en avant et monsieur de Langes m’en ha dit becop

    chemin. Quant nous en avons parlé à monseigneur

    Votre à jamais plus humble et

    tenir adverty de tout ce quil se passera.

    du roy. J’ay esté adverty de la prize du Pozin laquelle m’asseure

    J’obliois à vous dire comment les pauvres catholiques d’Orenge

    devers moy pur luy donner passage aveques une compagnie

    le plus.

    XVIIe mars 1573

    sera son bon plaisir et le votre, mais cest pour la necessité où je suys,

    de troys moys après, il ne cest jamays aydé destre de la compagnie

    ayant esté très bien survenu par [barré : la com] une partie de la compagnie du sieur Jullio

    et pour aultres ocasions que seroient trop

    ou ses heritiers et aultres quil appertiendra à estre

    inviolable en toutes les queles choses Dieu massistera

    aux champs en [barré : affad] asseurance ; et pour

    dellivrance que fust vollée des

    fut en danger à Grenoble lors quil y presenta sa commission ;

    destable, je nen ay point peu

    Bellievre

    Daulphiné à Grenoble

    ré là les affaires. Je me recomande très humbl[ement à vos]

    mains et prie Dieu,

    semble que son extrème vieillesse devoit faire prendre un peu de patience à ceux

    plus ouvertement fayct entendre si votre intention est que je lève

    pour luy faire responce ; et sil vous plaict luy escripre, jaymerey luy

    à monsieur le cardinal de Ferrare, lequel a escript une

    ne gaigne

    compagnye de monsieur d’Ourches.

    portera monsieur de Chatellart ; et lautre pour le comis

    plus le producteur et soustenement dudit comte

    gens quant lestat ne seroyt paié [barré : qui]. Il vous en dira ce que je luy

    Votre très humble et affectionné

    prendront plus

    y feront, ayant advis quil ny a point de gens de cheval icy aus environs craignant les mesnaiger

    quavés de les soubstenir. Quand au sceu pour

    si est ce que la présumption est contre les gueulx ou

    arrivée ces iours passés en ceste ville de quelques petis enfans de quatre

    alla par son commandement dans la chambre où

    par ces extrèmes chaleurs. Les jeunes gens comme voz

    affaires de Flandres. Mais, ilz nont peu encores avoir audiance, estant renvoyé du roy

    des postes. Je présente mes très humbles recommandations

    comte, pour conclusion, pria monsieur d’Hourche d’accepter

    effaict, on attend les sieurs de La Garde et d’Estrozze aujourd’huy, qui est le

    et nous mande fère les pièces aux meilleurs officiers. Le meilleur que jen voye

    à ma dicte dame, comme feront toutz les aultres

    la crue de mille escus et men samble ny auroit

    avoit mandé audit sieur de Joyeuse de rompre

    serviteur à jamès

    De Paris, ce VIe aoust 1572.

    plarra. Vous verrés coument monsieur d’Hourches

    sur ce qui a naguères passé en court à l’occasion de l’extreme

    de l’arquebuze ; je ne me souviens pas à present de l’autre. Au

    VII septembre

    quatre ou V mois de ceste année

    très longue vie. D’Ambrun, ce XXVe septembre 1572.

    Monseigneur, il vous plaira avoir esgard

    [v°] se trouva trompé de ceux du lieu. Voila tout ce que je vous scaurois

    Velheu, monsieur de Brye et aultres seigneurs qui

    aussi dict que, sans grande necessité, on ne devoit pas venir

    tailhes ; l’ons en advertit monsieur le président de Masan. Il dict que

    Monsieur, je vous bayse tousjours très humblement la

    et mal.

    tenir bon. En Flandres, le duc d’Albe a reprins

    très hobeyssant serviteur

    à ceste-cy.

    Touttesfois, il me semble que l’on n’y peut laisser la

    mais je voudrois premièrement avoir une attestation ^des trésoriers du domeine

    sanblablemant malade. Je ne scay si elle le contreffeoyt

    [330]

    Votre très humble serviteur.

    recommandations à leurs bonnes grâces.

    de bien. Celuy qui est notre rantier les puis hoster quant

    le premier president. Il a dict que sus la commision

    plus obeissant frère

    Attendant voz commandementz, je supplierey le

    vous tient en quelque peyne. Je voudroys estre si heureux notre

    m’ont escrit et prié de presenter leur lettres et memoires au

    qu’il vous meyne. Il dessendra à Valence et de là je le

    [mots barrés] A quoy toutes

    Votre très humble et

    comme il plaira à votredite magesté entendre par madite lettre etc ...

    de monsieur le duc d’Uzès que pour fouyr lebeyssance quil debvoyt rendre

    Centurion qui est des pieça auprès de moy, et congnoissant la valleur et merite

    longues à descouvrir tellement que

    et comparoir à Lyon pardevant messieurs les seneschal

    sy luy playst, ce pendant je le prieray me tenir pour

    autant quil nya autres bledz à reserve en granier

    huguenotz

    et quelques autres semblables poinctz sans apparence

    recouvrer, touteffoys, je men enquerrey

    Monsieur Besson ma dict quil sest resolu

    bones graces, et prie Dieu vous doner

    monsieur, vous donner en parfaicte santé ce que bien desirés.

    qui entreprennent sur luy. Mais je croy vous en avoir escrit assés amplement

    quelques provisions sus le Ixe et XIIIe article du bail de Compiegne

    faire tenir leuremède [sic] par la voye du chevaucheur de Montmelian.

    letre à mon dit sieur de Pelvé, laquelle vous mande [nestre ?]

    pas ». Je seray

    [149 v°] Monsieur, lauditeur Faure estant à Gap et vollant venir en ceste ville

    de monsieur de Lange, que je randray passant à Lion.

    de Gayasse contre lequel vous avés aussi beau

    en ey dit coment f…lt de lafection que vous portent les personnes que

    à vous fère service

    grand tant quil

    de ceste ville quilz ayent empeschement à faire des transailles et quilz ne puissent aller y

    vous cinq mille l. ts de pecs, monsieur Milhard et

    huguenotz de ne pouvoir subsister, mais aux guerres

    ans qu’on ha trouvés mort par cy par là, estans fendus le long du ventre

    se tenoit le conseil pour les finances, parler à

    nepveux de La Coste et des Baumettes ont esté prié

    à la royne mère et d’elle au roy, qui faict mal presumer et donne soupçon de beaucoup

    à votre bonne grâce, priant Dieu

    pour vous l’offre de IX m[ille] Vc livres pour l’amour de luy ;

    23. en cette ville pour, avec monsieur de Clermont, Ponpadour et les aultres

    est que c’est à l’un des deux, autrement je craindroys que cela

    ces compaignons. A nuyct, au cocher de Monseigneur

    que faire dire ung mot à lorele à [la…monteur]

    touttes assemblées, courir sus et les mettre en pièces.

    Pontays

    Votre très humble serviteur

    ne peult tarder destre ici dans dimanche ou

    maladie de mondit sieur le president, de la guerison duquel je

    premier, j’ay desjà respondu que la deffence est generale, faicte

    Votre à jamais très humble et très obeissant frère De Simienne

    Je ne moblie aler soliciter

    Vostre très humble et plus hobligé serviteur

    sus la forniture du boys de la garde,

    escrire, me recommandant tres humblement à votre bonne grace, je prye

    sont en ceste ville, que me gardera vous en faire

    à ce poinct, et qu’il pourroit venir ung temps que telle ville

    manderoyt quelque provision et n’en fist rien. Ilz nous ont tourné

    main, suppliant mon Dieu à mon accoustumée vous

    Ce Saynct-Maurice dont est parlé en la letre du capitaine Arnaud, est l’ung de

    Malines et donné le sac aux soldats. Le prince

    Lacasette

    poste et nuyre à leurs commodités pour les vivres,

    qui est de milles à XI c Lt à mon advis et scavoir ausy

    pour avoir beaucoups de demandeurs après d’elle qui ne demande que d’argent pour

    Je ne vous ay escript du partement de monsieur Belièvre pour la

    So. de Boczosel

    Je vous ay amplement escrit par monsieur Monteau, qui

    bon me samblera et parsidevant a mal tenu la maison

    de mondit sieur Dampville il ne veult entreprendre.

    De Simiane

    Createur,

    trouppe fust près de vous et vous y pouvoyr faire quelques

    roy et à la royne sa mère, ce que je feray et suis bien marri

    feray conduyre jusques au Saynt Sprit. Je suis bien marri

    foys en ce que j’ay peu,

    très hobeissant serviteur

    à sa magesté ce que dessus, je le veriffierey, monseigneur si bien

    du sieur Carlo Marconi, lieutenant dicelle compagnie, si tant estoyt que ledit sieur

    avec verité, ilz peulvent dire que tous

    et gens tenant le siège presidial audit Lyon au

    très affectionnement recommandé à votre bonne grace et à

    ycy que les vies sil vous plaisoyt envoyer

    et qui ne vallent pas lescrire. Si suis ie marry que

    et si jen puis treuver quelque, je

    de vous faire service suyvant les propoz que vous

    monsieur, en sainté heureuse et longue vie. De St Ger[main]

    De la Bastie Neuve, ce XXIIIIe janvier 1574

    de Langres si d’adventure ledit Don Joan avoyt quelque dessaing, je vous

    don vous mavés envoyé les extrayts, car vous ne mavés pas escrit

    Monsieur le president a jà faict puys son arrivée quatre ou cinq entrées pour apointer

    guières advancé leuvre. Javois auparavant fait une [lettre ?]

    très eyse sil

    obtint passe port de monsieur des Diguières avecq lequel il dina

    [162] Je pance vous avoir escript que au partir dicy je seray

    bourrer si vous volés.

    vous pourrés [mot barré] avoir creu estre mescontentes de la disposition de ceste

    glandage.

    ne seroyt de be

    negotier leurs affaires, ce quilz extimeroyent une estreme perte, si bien quilz disent que de leurs

    autres entandus en ces affaires, disent que

    civiles l’événement le plus souvent trompe les plus

    et les entrailles ostées. Je le dis après des gens de la court de parlemant

    messieurs du conseil de pourveoir à votre payement, lesquelz

    par monsieur le conte de sabilher, de mesme que lui

    de malheur. Le roy et la royne mère faignans daller à la forestz de Lyons

    Monsieur, je prie Dieu qui vous conserve en

    qu’il vous auroit obligation de tout ce que l’office valloit

    qui sont icy, résouldre entièrement de ce qu’on ha affère. Si le pourteur

    me retarda.

    le vicomte de Cadenet, je luy dis y avouer

    Je massure que metroit deau à son vin et croiés monsieur

    Mais, monsieur, vous verrés ce que le roy vous en

    S de boczosel

    lundi prochein. Je croy que nous ne partirons dici

    m’asseure que vous croirés assés que je suys trop plus ayse

    par ordonnance publique, que vous ny la court de parlement ne

    Laffaire de Cot est depeché comme ma dit

    et la roine et Monseigneur.

    Le chevalier de Voguedemar

    car ne moy, ne les soldatz ne scaurrions

    Dieu,

    [v°] plus longue lettre, priant le Createur,

    que Dye pourroit bien estre de grand importance. J’ay

    gaiger ceste année et prins les fruictz que nous y prenons. J’en ay

    donner,

    ceulx qui se treuvent chargé par l’information par nous decretée d’avoyr, en pleyn

    d’Aurange s’est retiré et a-l’ons voulu bruyre que

    et que ces deux poinctz sont incompatibles. La royne

    s’il ce peult par votre moien s’il y avoit difficulté à en

    faire ce voyage de La Rochelle, qu’est tout ce que je vous

    Suisse et y a peu de jours qu’ay sceu que monsieur le

    De ce XXIIIIe, veille de Noël, au soir, notre dépêche est encor ez mains de monsieur de Saulve.

    devoit laisser mon pacquet à monsieur de La Tivolière.

    par votre rantier de St Saforien. L’on pourroit mener ce fait

    Or monseigneur tout vaut pouvrement et voy bien

    Escrivant la presente, il est arrivé ung chanoyne qui vient du camp,

    agreables et humbles services et lors que j’aurey ceste

    que on les aye tant gardées et cheries car elles sont du IIIIe

    du trevaill que les pluyes ont donné à votre armée. Je prie Dieu

    j’ay remedié y

    Mayres

    que vous aurés occasion non seulement de ne [barré : d]adjouster foy à ses paroles

    Jullio fut decdé devant La Rochelle, comme lon dict, je vous supplie

    les moyens que ilz soloient aultresfois

    jeudy troysiesme jour du moys de decembre prochain

    cele de monsieur de Saint Meury votre frère et que vous

    à messieurs d’Aiguebelle vous nepveuz den

    telles menteries passent à La Rochelle et vous nomme

    le vous envoyerey. Quant à celluy que

    luy avés tenuz, et quallors que vous serés

    ce XXIII janvier 1574

    Votre bien humble serviteur

    promects que je seroys sur tout en peine d’Avignon pour l’importance d’une

    à queles fins.

    monsieur Bovier et sa feme, mais ilz ne pencent venir au poinct car il se veult

    à messire Draqui et mandé celles de monseigneur et dame de [ ??]

    se trove inno

    samedy passé à Aspres dans la maison de Bonard et ma dict que

    X ou XII jours à Paris pour mabilher et pour

    [171 v°] Jen eusse escrit à messieurs de Morvilliers et

    tant [mot barré] saige et vertueuse dame, feue madamoyselle votre mère.

    soing. Je vous

    particulyer moyen, ilz contenteroyent les gentilhommes voysins qui viendroyent en ceste ville pour

    les pouvés prandre et les pecs donner sur le brevet

    qu’il ne survint

    fayct plésyr de men advertir. Je ne scay si S[a]ou est plus près de

    autres affères,

    Die que du Crest. Je vous prie en advertir

    les quelz venus,

    messieurs du Puy Saint Martin ou Monleheu,

    il fault que vous

    lequel nest pas si jeune quil ne praigne bien

    regardiés de re

    garde à luy ; et le catholique qui vous a donné tel advis en

    metre ce que vous

    debvoyt autant fayre audit Monleheu. Je pence avoyr respondu

    en aurés prins

    à tous les poyntz de votre lettre, vous priant me fayre part de

    et ce qui sera

    voz nouvelles par les susdits moyens le plus souvent que vous

    despendu par autre

    pourrés ; et en cest endroyt, je me recommande à votre bonne

    ordonnance que

    grace daussi bon cueur que je prie Dieu

    la mienne ; et nest

    monsieur de Briansson